25 mai
À chaque fois que j’entends la présentatrice de la météo dire « à l’arrière », vérifiez, c’est presque tout le temps et sur n’importe quelle chaîne, je pense à cette chanson de Bashung :
À l’arrière des berlines
On devine
Des monarques et leurs figurines
Juste une paire de demi-dieux
Livrés à eux
Ils font des p’tits
Il font des envieux
À l’arrière des dauphines
Je suis le roi des scélérats
À qui sourit la vie
Marcher sur l’eau
Éviter les péages
Jamais souffrir
Juste faire hennir
Les chevaux du plaisir
Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien n’s’oppose à la nuit
Rien ne justifie
Usez vos souliers
Usez l’usurier
Soyez ma muse
Et que ne durent que les moments doux
Durent que les moments doux
Et que ne doux
Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien n’s’oppose à la nuit
Rien ne justifie
Osez, osez
Osez, osez
Osez, osez Joséphine
Osez, osez Joséphine
Plus rien n’s’oppose à la nuit
Rien ne justifie
Source : LyricFind
Bashung que j’ai découvert et apprécié, malheureusement, vers la fin avec l’album « Bleu pétrole » de 2008 et, par la suite, quelques perles comme « La nuit je mens » qui fait remonter à chaque fois de vieux souvenirs et que j’ai déjà évoqué ici :
Il y a comme ça des formules qui sont devenues des réflexes qui reviennent à chaque fois à propos de n’importe quelle situation, « CLN c’est la nuit » d’une chanson de Ferré :
«Invente des formules de nuit, « cln, c’est la nuit! »» dans « Il n’y a plus rien » :
J’en ai un peu parlé à propos d’une autre chanson plus apaisée, là :
https://humm.loverde.fr/la-memoire-et-la-mer/
Je vous épargnerai toutes les paroles de cette chanson de 16 minutes et quelque, mais elles sont là :
https://www.paroles.net/leo-ferre/paroles-il-n-y-a-plus-rien