Pendant quelques jours sur la radio que nous écoutons plus parce que peu envahie par la pub que pour son impartialité, est revenu l’encouragement de lecture du nouveau roman de B.Minier. Et il faut croire que ça a marché puisque je l’ai lu et même offert.
4ième de couverture
À l’université de Salamanque, un groupe d’étudiants en criminologie découvre l’existence d’un tueur passé sous les radars depuis plusieurs décennies et qui met en scène ses victimes en s’inspirant de tableaux de la Renaissance.
À Madrid, l’enquêtrice Lucia Guerrero trouve son équipier crucifié sur un calvaire et se lance sur les traces de celui que l’on surnomme le « tueur à la colle ».
Tous vont être confrontés à leur propre passé, à leurs terreurs les plus profondes et à une vérité plus abominable que toutes les légendes et tous les mythes.
Impressions
Un bon polar qui se déroule en Espagne dans des coins que je n’ai jamais visité, à part Benalmadena pas loin de Torremolinos sur la Costa del sol.
Une histoire de tueur en série digne d’une bonne série télé. L’histoire ne se contente pas du seul tueur en série mais de personnes assouvissant leur passion morbide en secret. Insoupçonnables et dans l’entourage proche de l’enquête, un peu trop proches et un peu trop insoupçonnables et qui n’apportent rien d’intéressant dans le récit, que de la noirceur.
Vite lu car difficile de lâcher l’histoire et de poser le livre.
