Musique de la série espagnole » El embarcadore » Chanson que j’ai envie, à chaque fois, de réécouter sans me lasser, peut-être pour la voix si particulière de la chanteuse, ou que les mots ont une résonance évoquant des souvenirs…
Te quiero De una manera tan extraña que cuando lo cuento Noto algo sumergido al fondo de mi pensamiento Que baila conmigo hasta hacerme dormir Y en sueños te veo Como una herida abierta inmune del paso del tiempo Estoy casi desnuda y temo que si me convenzo Vaya a perseguirte buscando salir El propio argumento quizá No sea tan tarde y aún pueda salvarte de la tempestad Por ti a cucharadas me tomo los restos que puedan quedarte... arme Te vas Y como los perros de caza rastrean su presa yo corro detrás A tierra y barro me cubro cuando te vigilo como un animal Oculte a la merced del viento Que lleva por capricho mi lamento Lo arrastra con su paso y no me importa que venga Y que ponga este cielo de negro que ya no le temo Hasta que el cielo chivato se ponga a llover Hasta que el cielo chivato se ponga a llover Y sea el olor A tierra mojada La prueba evidente Que tengas de mí Sea el olor A tierra mojada La prueba evidente Que uséis contra mí
Version acoustique
https://youtu.be/2Baq8CKH1tk
Traduction si lespagnol est une langue étrange pour vous mais l’original est mieux bien sûr.
Je t'aime, d'une façon tellement étrange que quand je le raconte Je remarque quelque chose enfoui au fond de ma pensée Qui danse avec moi jusqu’à m'endormir Et en rêve je te vois Comme une blessure ouverte insensible au temps qui passe Je suis presque nue et je crains que si je ne m'en convaincs pas Je te poursuivrais en cherchant à sortir Peut être le véritable argument Qu'il n est pas trop tard pour encore te sauver de la tempête Pour toi, je prends tout ce qu'il te reste Tu t'en vas Et tel un chien de chasse poursuivant sa proie, moi je cours derrière Je me couvre de terre et de boue lorsque je te surveille comme un animal Caché à la merci du vent Qui emporte capricieusement mes lamentations Il l'arrache sur son passage et peu m'importe qu'il vienne Et qu'il peigne le ciel en noir, parce que je n'ai plus peur Jusqu’à ce que le ciel- cafard se mette à pleuvoir Jusqu’à ce que le ciel- cafard se mette à pleuvoir Et l'odeur de terre mouillée sera La preuve évidente Que tu auras de moi Et l'odeur de terre mouillée sera La preuve évidente Que vous utiliserez contre moi