Il n’y avait pas de porte entre les passagers et les pilotes dans le Fokker 27, et cela créait une étrange intimité dans cet espace partagé entre ciel et terre. On raconte qu’un jour, lors d’un vol passé, les deux pilotes étaient sortis du cockpit. La porte avait claqué derrière eux, un coup du sort, et comme vous le savez peut-être, on ne peut pas l’ouvrir de l’extérieur.
Heureusement, le pilote automatique veillait comme un ange gardien invisible. Mais il fallait reprendre les commandes, car atterrir sur une piste en latérite, avec ses ondulations, n’était pas simple.
Alors, nos deux pilotes, le cœur battant, avaient saisi la hache de sécurité, outil faisant partie des équipements standard à bord des avions. Par bonheur, elle n’était pas enfermée dans le cockpit mais attendait près des issues de secours, comme une promesse de salut.
Les passagers, leurs regards emplis d’inquiétude, avaient observé les pilotes briser la porte avec détermination. Les éclats de bois et de métal s’étaient mêlés aux éclats d’angoisse. Mais enfin, les pilotes étaient retournés à leur poste qu’ils n’auraient jamais dû quitter ensemble.
Depuis ce jour, il n’y a plus de porte entre le cockpit et les passagers, comme pour rappeler la fragilité de la séparation entre ceux qui guident et ceux qui suivent, entre le destin et le hasard, entre le ciel et la terre.
Inspiré d’un contenu provenant de l’article « je prends l’avion » du 28 juillet 2024 et corrigé par Chatgpt.
Cette histoire est évidemment un Fake. La porte entre les pilotes et les passagers a été ajoutée dans le Fokker F27 au début des années 1960.
Illustration I.A.
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