Dans un précédent article, j’évoquais les souvenirs nostalgiques de mes années de terminale au lycée Lyautey, où les jours étaient rythmés par les cours, les rires et les discussions passionnées avec mon voisin de table et camarade de l’époque. Ce compagnon de route, partenaire acharné au ping-pong, résidait dans le quartier animé du Maarif. Nous étions inséparables et partagions nos aventures scolaires et nos découvertes intellectuelles.
Un jour, nous nous étions lancés dans un défi singulier : déterminer le jour de la semaine de cette même date en l’an 2000. Ce jeu de calculs, qui semblait si anodin, nous captivait. Malgré une mémoire qui retient les moments marquants, je dois admettre que la méthode exacte m’échappe aujourd’hui. Était-elle vraiment rigoureuse ou simplement le fruit de notre imagination débordante ?
Je me souviens de bribes : les années bissextiles, ces étranges exceptions tous les cent ans, et les ajustements tous les quatre cents ans. Nous explorions ces notions, comme des alchimistes cherchant à percer le mystère du temps.
Nous étions jeunes, insouciants, et chaque calcul était une excuse pour prolonger un instant de complicité, un prétexte pour se plonger dans les mystères du calendrier. Aujourd’hui, ces souvenirs sont empreints de nostalgie pour une époque où chaque moment promettait des découvertes et des joies partagées.
Inspiré de « Exploration temporelle »
et corrigé par Chatgpt.
C’était qui ce copains ?
Il habitait au Maarif. Il s’appelait Fernandez après le bac il est rentré à l’INSA de Toulouse et moi à l’école d’ingénieurs de Saint Barnabé à Marseille, et on s’est perdu de vu. J’allais souvent chez lui pour jouer au ping-pong.