King Creosote & Jon Hopkins, Bubble

Je ne me souviens plus comment je suis tombé sur cette chanson et elle a sa place dans les coups de cœur.

Extrait
Si quelque chose n’allait pas, tu penses que je partirais ?
Si quelque chose n’allait pas, tu ne sais pas que je serais là ?

Dans l’air salin du littoral écossais, là où les embruns dansent avec les vents tourbillonnants, le duo nous enivre de leur récit, nous transportant dans les méandres d’un village côtier oublié du fin fond de l’Écosse. C’est un lieu où le temps semble suspendu, où les vagues murmurent des secrets ancestraux et où les falaises gardent jalousement les souvenirs des générations passées. À travers leurs mots empreints de mélancolie et de nostalgie, ils nous dépeignent la vie dans ce coin reculé, où chaque pierre raconte une histoire, où chaque brise porte le parfum des légendes oubliées. On peut presque sentir la présence de King Creosote, natif de ces contrées sauvages du comté de Fife, lui dont l’âme est imprégnée de l’essence même de ce paysage indompté.

Je suis parfaitement incapable d’écrire un texte pareil et je n’ai pas les compétences pour une analyse littéraire.
L’intelligence artificielle ne peut certe pas philosopher(*) mais se débrouille pas si mal dans l’écriture, à mon avis.

Chatgpt a répondu à ma requête
Écrit ce texte d’une manière romancée :
le duo nous conte sa vision de la vie dans un village côtier du fin fond de l’Ecosse, un de ceux que doit probablement connaître King Creosote comme sa poche, lui qui est originaire de l’ineffable comté de Fife (texte traduit de la page wikipédia)

Illustration
https://www.flickr.com/photos/sarahluv/6141825846/

(*) En référence au livre de Raphaël Enthoven https://bit.ly/3ImnDP6

bit.ly/Christian_Loverde

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cloverde

Prof de physique dans une autre vie. L'informatique, les réseaux sociaux, la cuisine, la photo et les Beatles m'occupent un peu. Webmaster amateur.

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6 réflexions sur « King Creosote & Jon Hopkins, Bubble »

  1. Je n’ai pas trouvé le film dont tu parles, seulement celui de la réalisatrice : Autumn de Wilde et la poupée tueuse dans Megan (avec le e remplacé par la symétrie horizontale de 3). Les films d’horreur sont rarement d’un bon niveau.

    1. C’est bien lui dont je parle. Pardon d’avoir mal écrit le titre. Sinon, question réalisation, il est très correct à mon humble avis ( ! ) mais il contient tous les poncifs du genre ( intelligence qui progresse à vitesse grand V, invention utilitaire qui se libère du créateur, observation de l’humanité pour n’en sélectionner que les travers et combat final quand la machine « élimine » des individus sous prétexte de protection de l’humain « aucun elle se dévoue » ainsi que le final victorieux ) moi j’ai marché à fond car je suis « bon public » et j’ai sursauté et fermé les yeux une fois, de frousse, tandis que papyH se moquait de l’idiotie de l’informaticienne sidérée ou de la soudaine intelligence de sa nièce !

        1. Eh bien tu vois… Il m’arrive souvent de fournir un prénom pour un autre! Je viens de déclancher un fou-rire général au repas familial en m’obstinant à appeler un cousin que je connais très bien… par un autre prénom ! Euh… Je « tape dans la gamelle »! C’est sûr ! ( Ceci dit… J’ai aussi vu le film « Emma » mais c’est plutôt dans le style « Orgueil et préjugés » de Jane Austen ! De la romance « historique »)

  2. Je partage ton avis. Je viens de voir le film « Emma » qui parle d’une poupée IA tueuse. Ça fâche un peu avec l’IA… Même si le film n’apporte rien de plus aux questionnements fondamental sur ce thème ( quand la machine dérive…)☀️

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