Paul Auster

La mort de Paul Auster a été très largement évoquée dans les journaux télévisés, à la radio et sur le web. Paul Auster, Bashung, Gainsbourg… le talent n’empêche pas les addictions mortelles et c’est bien dommage.


Je me suis dit, tiens je ne suis pas le seul à apprécier cet écrivain américain et j’ai appris qu’il était francophone et très apprécié du monde littéraire français et des français en général.
Personnellement je ne suis pas un grand liseur et je n’ai pas lu beaucoup de livres de Paul Auster les deux seuls que j’ai lu, je les ai trouvés en allant à Marseille pour voir ma mère à l’époque où elle y habitait encore.
Mon premier livre trouvé sur un marché aux puces sur le boulevard Baille, c’était Brooklyn follies.
Le deuxième que j’ai acheté il y a pas tellement longtemps au seul bouquiniste du marché de Castellane, au milieu de la collection Delly et d’autres livres du même genre, c’était « La nuit de l’oracle » que j’ai prêté à une amie qui, visiblement, ne l’a pas tellement apprécié. J’avais écrit quelque chose sur ce livre qui explique pourquoi j’aime bien cet écrivain, je ne vais pas me répéter :
https://humm.loverde.fr/?p=7894


Les loups de Stanislav
Une petite nouvelle parue dans le journal Libération du 7 mai 2020 pendant le confinement. J’avais récupéré le journal numérique juste pour cette nouvelle. Dans le respect du copyright je n’ai publié qu’un petit avant-goût pour donner envie de la lire :
https://humm.loverde.fr/?p=5251

Quelqu’un a osé aller plus loin en publiant la totalité de la nouvelle :
https://pierrickauger.files.wordpress.com/2020/05/nouvelle-paul-auster-.pdf

On la trouve au format epub là :
https://fr.zlibrary-asia.se/book/12085123/3befc2/les-loups-de-stanislav.html il faut juste s’inscrire.

Le Voyage d’Anna Blume
J’ai en réserve et pas encore lu. Le résumé découvert à l’écriture de ce post me donne envie.

Résumé :
Une ville au bout du monde, cernée de murs, livrée à la désagrégation, dont les habitants tâchent de subsister en fouillant dans les détritus. De ce « pays des choses dernières », comme l’appelle le titre original du roman, la jeune Anna Blume écrit à un ami d’enfance. Venue à la recherche de son frère disparu, elle raconte ses errances dans les rues éventrées, sa lutte contre le froid, les prédations, le désespoir.
Le romancier de L’Invention de la solitude et de la Trilogie new-yorkaise nous entraîne ici dans un de ces univers, à mi-chemin du réel et du symbolique, dont il a le secret. Sur les pas d’Anna Blume et de quelques autres, résolus comme elle à ne pas s’anéantir dans l’abjection et la violence, nous traversons une fin du monde qui ressemble par bien des traits à notre monde. Avec eux, aux dernières pages du livre, nous serons conviés à rêver d’un autre départ, vers d’autres contrées…

Je lirai quand je me serais sorti de « L’année de la sauterelle« , passionnant mais un peu long.

Illustration
https://ndla.no/image et les loups générés par I.A.

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kris33390

Prof de physique dans une autre vie. L'informatique, les réseaux sociaux, la cuisine, la photo et les Beatles m'occupent un peu. Webmaster amateur.

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