par Je ne me lasse pas d’écouter cette chanson très novatrice pour l’époque et que beaucoup ont imité par la suite avec plus ou moins de succès, plutôt moins à mon avis.
Depuis sa sortie et encore maintenant. Elle fait partie de toutes mes playlists.
Les reprises ne sont pas à la hauteur évidemment.
Trouvé dans les commentaires, j’adore !
Please, a minute of silence for those who will never find this song…
Vous vous doutez bien que les reprises ne manquent pas, peu valent le détour.
Une version qui vaut par ses images en rapport direct avec les paroles. On est loin de l’insouciance originale.
CadenzaPete Studios :
Et enfin une vidéo-animation un peu bizarre, après le visionnage un sevrage d’écran sera nécessaire !
Paroles
A tenement, a dirty street
Walked and worn by shoeless feet
Inside it’s long and so complete
Watched by a shivering sun
Old eyes in a small child’s face
Watching as the shadows race
Through walls and cracks and leave no trace
And daylight’s brightness shuns
The days of Pearly Spencer
The race is almost run
Nose pressed hard on frosted glass
Gazing as the swollen mass
On concrete fields where grows no grass
Stumbles blindly on
Iron trees smother the air
But withering they stand and stare
Through eyes that neither know nor care
Where the grass is gone
The days of Pearly Spencer
The race is almost run
Pour la traduction ne pas trop se fier à Google, préférez la Coccinelle
https://www.lacoccinelle.net/247053-david-mcwilliams-days-of-pearly-spencer.html
Un pauvre immeuble, une rue sale
Parcourue et usée par des pieds nus
à l’intérieur elle est longue et si complète
Observée par un soleil tremblotant
Les yeux vieillis dans le visage d’un petit enfant
Qui regardent la course des ombres
A travers les murs fissurés sans laisser de trace
Et évitent la lumière du soleil
Les jours de Pearly Spencer
Son parcours va bientôt prendre fin
Le nez collé à la vitre givrée
Regardant alors que la foule dense
Sur les champs de béton où ne pousse pas d’herbe
Trébuche à l’aveuglette
Des arbres en fer étouffent l’atmosphère
Mais flétrissant ils restent droit à regarder
A travers leurs yeux qui ni ne savent ni se soucient
De ce qu’est devenue l’herbe
Les jours de Pearly Spencer
Son parcours va bientôt prendre fin
Un résumé et l’histoire de la chanson :
https://rockthebonnie.com/2023/07/23/david-mcwilliams-the-days-of-pearly-spencer/
″ Un immeuble, une rue sordide arpentée par des pieds sans chaussures. À l’intérieur, des yeux fanés dans un visage d’enfant qui observent la course des ombres sur les murs fissurés, en évitant l’éclat de la lumière du jour se dérobe. Le nez collé à la vitre givrée il regarde la foule sur le champ de béton où l’herbe ne pousse pas. Des arbres de métal déchirent le paysage. Plantés là, ils se dressent fièrement sans se soucier de ce qu’est devenue l’herbe. Ce sont les journées de Pearly Spencer. Pour lui, la partie est pratiquement terminée ″.
