In the pines

Je n’arrive pas à m’enlever cet air de la tête alors j’ai demandé à Chatgpt d’écrire une histoire. Il n’y a pas de rapport, c’est juste pour apporter quelque chose de nouveau à cette chanson dont les paroles de chaque version sont différentes, les unes plus noires que les autres.

La légende

Au cœur des montagnes de l’Appalachie, dans un petit village isolé par les pins noirs, vivait une jeune femme nommée Mary. Elle avait toujours été connue pour sa beauté et sa voix douce qui résonnait comme un murmure du vent à travers les arbres. Chaque soir, après le travail dans les champs, elle chantait une vieille chanson que sa grand-mère lui avait apprise, une chanson pleine de mystères et de mélancolie : « In the Pines. »

Les paroles parlaient d’un amour perdu, d’un homme qui avait disparu dans les bois sans laisser de trace, et d’une femme éplorée qui cherchait des réponses. « In the pines, in the pines, where the sun never shines, and you shiver when the cold wind blows, » chantait Mary, sa voix se perdant dans le crépuscule.

Mais ce que Mary ignorait, c’était que cette chanson était plus qu’une simple mélodie. Elle était le reflet d’une ancienne légende du village. On racontait qu’il y a bien des années, un jeune homme avait disparu mystérieusement après avoir été vu pour la dernière fois dans la forêt de pins, et que depuis lors, son esprit errait, incapable de trouver le repos.

Un soir, alors que Mary chantait une fois de plus « In the Pines » près de la lisière de la forêt, un étrange frisson parcourut l’air. Le vent se leva, et les pins se mirent à murmurer de manière inhabituelle. Soudain, une silhouette émergea des ténèbres des arbres. C’était un homme, vêtu de vêtements déchirés, le visage pâle et fatigué. Mary sentit son cœur s’emballer, mais quelque chose en elle la poussait à rester.

L’homme s’approcha lentement, et dans ses yeux, Mary vit une profonde tristesse. « Qui es-tu ? » demanda-t-elle, sa voix tremblante.

« L’esprit d’un homme qui a été perdu dans ces bois depuis bien trop longtemps, » répondit-il doucement. « Ta chanson m’a guidé jusqu’à toi. Mais je ne trouve toujours pas le repos. Sais-tu où est ma bien-aimée ? »

Mary sentit une larme couler sur sa joue. Elle comprit alors que l’histoire de la chanson n’était pas une simple légende. « Je ne sais pas où elle est, » dit-elle, « mais peut-être qu’en chantant cette chanson ensemble, nous pourrons apaiser ton âme. »

Alors, sous les pins noirs et le ciel étoilé, Mary et l’esprit chantèrent « In the Pines » une dernière fois. Au fur et à mesure que la mélodie emplissait l’air, l’homme semblait devenir de plus en plus translucide, jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement, emporté par le vent.

Le village n’entendit plus jamais cette voix fantomatique résonner dans la forêt, et Mary continua à chanter, mais cette fois, avec la certitude que quelque part, au-delà des pins, une âme avait enfin trouvé la paix.

La chanson

J’ai cherché d’autres versions et je dois dire que celle-là est bien au-dessus de celles entendues précédemment, anciennes ou récentes.

Tell me love, tell me no lie, Where
did you stay last night?
🎻
I stayed in a pine where the sun never shines,
A shovel in a cold winded blow.
🎻
The only girl I ever loved in a pine, in a pine, in a pine.
But now she sleeps in a dark, cold grave,
In a pine where the sun never shines.
🎻
I’m an old time rounder who’s done gone down,
And his world to me is blind.
I’ve been my girl in a dark, cold grave, In a pine where the sun never shines.
🎻
There’s no place, a long steel rail, A
short, cold time,
I’m trapping my way back home.
So burdened by friends I’m leaving you behind,
In a pine where the sun never shines.
🎻
by Arthur Smith and his Dixie Liners Bluebird
Publication date 1938-10
Topics 78rpm, Popular Music
Singing; Violins; Guitar; Bass.

Tentative de traduction

Dis-moi mon amour, ne me dis pas de mensonges, où es-tu allée la nuit dernière ?
Je suis allée dans les pins où le soleil ne brille jamais,
Une pelle dans un coup froid et venteux.
La seule fille que j’ai jamais aimée dans les pins, Dans les pins, dans les pins.
Mais maintenant elle dort dans une tombe sombre et froide,
Dans les pins où le soleil ne brille jamais.
Je suis un vieux routier qui a fini par tomber,
Et son monde est pour moi aveugle.
J’ai enterré ma copine dans une tombe sombre et froide,
Dans les pins où le soleil ne brille jamais.
Il n’y a pas de place, un long train en acier,
A temps court et froid,
Je suis en train de rentrer chez moi.
Tellement accablé par mes amis, je te laisse derrière moi,
Dans les pins où le soleil ne brille jamais.

bit.ly/Christian_Loverde

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kris33390

Prof de physique dans une autre vie. L'informatique, les réseaux sociaux, la cuisine, la photo et les Beatles m'occupent un peu. Webmaster amateur.

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Une réflexion sur « In the pines »

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