par Résumé
Pour un agent de la CIA envoyé sur le terrain, les frontières n’ont plus d’importance. L’objectif est de s’infiltrer, d’accomplir sa mission et de quitter la zone par tous les moyens.
Mais dans certaines régions hostiles, aux confins du Pakistan, de l’Iran et de l’Afghanistan, la violence est la seule voie pour survivre.
Et lorsque l’exfiltration d’une source cruciale conduit cet agent à croiser la route d’un terroriste qu’on disait mort, c’est la sécurité de tout l’Occident qui est menacée.
Notes de lecture
Tableau de la Renaissance
« Une femme en noir, le grand-père à la barbe grise et aux vêtements couleur terre, les deux enfants agrippées à leur mère sous un homme crucifié, le vent soufflant sur un paysage aride, le soleil réduit à une simple lueur au-dessus des collines. »
Le retour
« Je me demandai, un instant, si je n’étais pas encore la proie d’un de ces délires fiévreux.
« Dieu te protège », chuchota-t-elle, presque en larmes. Là, je compris que je délirais – Rebecca ne croyait pas en Dieu. »
Impression en cours de route
L’auteur s’éparpille dans des histoires qui n’apportent pas grand-chose au fil du roman.
De plus, le héros se sort de situations où personne n’y serait arrivé, c’est too much !
Malgré tout c’est facile à lire, les chapitres courts et les situations pas trop compliquées font qu’on peut reprendre après une longue pose et on rentre à nouveau dans le roman facilement.
L’épisode dans le sous-marin furtif est un peu compliqué et on a du mal à visualiser la scène.
Et au final
La fin s’apparente à de la science-fiction. Je trouve le premier saut temporel plausible mais il est difficile d’imaginer que le chemin inverse pour retomber au bon moment soit possible. Cette partie abracadabrantesque du roman gâche un peu tout le reste.
